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Château Lafite-Rothschild (Pauillac)

Posté : 11 janv. 2016 22:28
par EricC

Re: Château Lafite-Rothschild (Pauillac)

Posté : 11 janv. 2016 22:30
par EricC
Lafite Rothschild 1995
(bu fin 2014)

Nez bordelais, fumé, tabac, délicatement évolué. Très belle bouche, droite, tannins encore présents. Gros potentiel, le vin parait très jeune, grande longueur. Miam.
Très bien (17.5/20)

Re: Château Lafite-Rothschild (Pauillac)

Posté : 11 janv. 2016 22:36
par Greg v
Lafite Rothschild 1995 (bu le même jour qu'Eric :

Racé, noble élégant, avec de fines notes de cassis, de terre et de havane. C'est très long. Encore jeune, mais tout de même abordable.

Re: Château Lafite-Rothschild (Pauillac)

Posté : 08 mai 2016 08:24
par Greg v
Carruades de Lafite 2002


Très beau nez, sur la finesse, porté par des notes de framboise, d'épices douces et de cèdre

La bouche est très élégante, en demi corps, très soyeuse avec des tannins fins totalement fondus. Finale harmonieuse, pas très longue. Il doit être sur son plateau de maturité

Un indice de torchabilité particulièrement élevé

16,5/20

Re: Château Lafite-Rothschild (Pauillac)

Posté : 08 mai 2016 09:25
par ArnaudV
EricC a écrit :Lafite Rothschild 1995
(bu fin 2014)

Nez bordelais, fumé, tabac, délicatement évolué. Très belle bouche, droite, tannins encore présents. Gros potentiel, le vin parait très jeune, grande longueur. Miam.
Très bien (17.5/20)


Greg v a écrit :Lafite Rothschild 1995 (bu le même jour qu'Eric :

Racé, noble élégant, avec de fines notes de cassis, de terre et de havane. C'est très long. Encore jeune, mais tout de même abordable.


J'étais là lors de cette soirée. Je n'ai pas pris de note mais je me souviens très bien de la série des 3 rouges.

Il y avait le Pavillon 2004, la GDP 2005 et le Lafite 95. Je dois dire que dans la série c'était le Lafite qui m'avait le moins plu et d'assez loin. Je lui avais trouvé des notes végétales et terreuses qui m'avait dérangées.

Re: Château Lafite-Rothschild (Pauillac)

Posté : 11 oct. 2020 14:36
par Greg v
Lafite-Rothschild 1990 :

Bouchon qui se décompose mais que j'extrais finalement sans qu'il ne présente d'odeur inquiétante.

Nez très élégant, sur le cassis, la framboise, âtre de cheminée, graphite, cèdre

Bouche : fine, au tanins poudrés très élégants. Le côté fumée/graphite et très présent et apporte de la race à ce vin en demi-corps bien fondu. Finale graphite assez persistante.

17,5/20