Greg v a écrit :
La gamme de micro négoce, les vins d'envie, aux étiquettes rigolotes, est carrément géniale. Vins faciles, très glouglou, dont la vocation n'est autre que d'être des canons pour les copains.
EricC a écrit :
Etonnant de faire ça à partir de négoce, non ?
Greg v a écrit :Bu de nouveau le pinot noir des "vins d'envie" qui sont donc ces fameux vins de négoce.
Je voulais vérifier qu'il supportait le transport.
Pas de problème, c'est très bon, façon carbo, vin de copain archi digeste et joyeux.
Nez sur la cerise, groseille, pointe réglisse
Bouche mûre et fraîche, légère et enrobée. Qui glisse tout seul.
Glouglouglou. un bon 15++/20
Je laisse Mathieu et Arnaud faire part de leur avis, puisqu'ils étaient avec moi
mrim a écrit :Je n'ai pas ressenti de souris pour ma part. Après, je ne suis pas certain de savoir quel goût a une souris
Greg v a écrit :A j+1 le vin était très en place et la finale était marquée par ce côté nature agréable que je nomme "petit beurre Lu".
Moi non plus je ne connais pas le goût de souris
.Les molécules à l’origine du goût de souris sont bien connues : il s’agit de lactobacilles, "plutôt favorables habituellement. Mais c’est aussi lié au développement des bretts en présence de sucre, donc pendant la fermentation", explique l’œnologue
sebovino a écrit :Le goût de souris est UN DÉFAUT.
Le goût de biscuit est LE goût de souris.
Selon lui, « il n'y a pas un mais des goûts de souris », classés en trois catégories sensorielles, en allant du pop-corn au vomi et en passant par des notes d'urine de souris.
Cacahuète, peau de saucisson ou spéculoos… Le "goût de souris" a beaucoup de noms mais il reste un mystère pour les vignerons.
"C’est plus une texture, avec un côté gras de cacahuète. Et l’odeur du poil, voire de la pisse de souris", décrit Loïc Roure, vigneron dans le Roussillon (domaine du Possible).
Le goût de souris n'est pas simple à décrire. Notamment parce qu'il s'agit d'un défaut olfactif quasi indétectable au nez. Il se manifeste "lorsque le pH augmente et que l’acidité diminue", explique Gilles de Revel, chercheur de l’unité de recherche œnologie de l’ISVV à Bordeaux.
EricC a écrit :Cacahuète, peau de saucisson ou spéculoos… Le "goût de souris" a beaucoup de noms mais il reste un mystère pour les vignerons.
"C’est plus une texture, avec un côté gras de cacahuète. Et l’odeur du poil, voire de la pisse de souris", décrit Loïc Roure, vigneron dans le Roussillon (domaine du Possible).
Le goût de souris n'est pas simple à décrire. Notamment parce qu'il s'agit d'un défaut olfactif quasi indétectable au nez. Il se manifeste "lorsque le pH augmente et que l’acidité diminue", explique Gilles de Revel, chercheur de l’unité de recherche œnologie de l’ISVV à Bordeaux.
Retourner vers « Vins de Savoie et de Haute Savoie »
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 5 invités