Greg v a écrit :Raisonnement totalement logique, mais qui est totalement anéanti en ce qui me concerne par le désir d'avoir (et boire) une quantité importante de domaines que j'apprécie trop pour m'en passer.
A chaque nouveau millésime de qualité je me vois mal me passer d'untel ou d'untel.
Il faut que je consulte
ArnaudV a écrit :Greg v a écrit :Raisonnement totalement logique, mais qui est totalement anéanti en ce qui me concerne par le désir d'avoir (et boire) une quantité importante de domaines que j'apprécie trop pour m'en passer.
A chaque nouveau millésime de qualité je me vois mal me passer d'untel ou d'untel.
Il faut que je consulte
Tout pareil que Greg.
J'achète sans cesse. Mais pas seulement les millésimes dit exceptionnels.
Le millésime le plus présent dans ma cave est 2014. Bon il faut dire que c'est l'année de naissance de ma fille. Et je suis pas forcément d'accord avec vous. Ce n'est pas bon qu'en blanc du Nord. Je pense que c'est un millésime très équilibré dans pas mal de régions. A commencer en Bourgogne sur les pinots.
Les collectionneurs se répartissent en 73 % d’hommes et 27 % de femmes.
50 % ont commencé leur collection entre 4 et 15 ans.
La majorité des collectionneurs y consacrent de 5 à 20 % de leur budget.
9 % pensent que c’est une façon de placer de l’argent.
90 % s’occupent régulièrement de leur collection, mais le temps passé varie de 10 à 100 % du temps de loisir total.
60 % acceptent de montrer leur collection à leurs amis, 20 % de temps en temps, 20 % jamais.
Source : “Eh bien ! J’aimerais mieux la voir mourir !” de C. Frère-Michelat (Coll. « Passion », musée d’Ethnographie, Neuchâtel, 1982).
Très rares sont les collectionneurs qui s’estiment « enfermés » dans un carcan d’objets divers qui se multiplient à l’infini. « La grande majorité d’entre eux se sent libre et heureuse, assure l’ethnologue Claude Frère-Michelat. Ils sont fiers de leur passion, de connaître à fond leur sujet, de faire œuvre de protection d’un patrimoine culturel. » Ce qui confirmerait l’hypothèse de la valorisation narcissique. Mais que penser de ceux qui rendent la vie de leurs proches insupportable ? « Leur comportement devient dangereux lorsque la collection-traitement a dépassé son but, poursuit Robert Neuburger. L’aspect passionnel prend le dessus, et ils perdent toute notion de réalité. Ce sont des cas rares, bien sûr. Quant aux collectionneurs “normaux”, même s’ils ne souffrent pas d’une maladie, ils ne guérissent pas du “collectionnisme”. C’est une véritable dépendance. Un peu comme l’alcoolisme. A la différence que cette assuétude est plutôt sympathique. »
EricC a écrit :Je n'ai pas d'objectif bien précis, mais l'idée serait de redescendre à 400-500 bouteilles, puis de n'acheter que pour compenser ce qu'on boit.
ArnaudV a écrit :Je profite du message d'Eric sur ces comportements d'achat montrant la comparaison entre rouge et blanc pour faire le même examen.
ArnaudV a écrit :
Je donne un exemple : Imaginons une garde moyenne cible de 10 ans.
Si on veut boire des vins à 10 ans en moyenne il faut en cave un nombre de bouteille = (nombre de vins ouverts par an) x (nombre d'année de garde moyen désiré).
sebovino a écrit :Arnaud,
(...)
Tu dégustes combien de vins rouges et blancs de plus de 10 ans par an?
EricC a écrit :Ouch, "petit" déséquilibre en effet !
EricC a écrit :Ca n'est valable que si pour chaque vin tu veux pouvoir en boire 1 btl par an jusqu'à sa maturité.
Mais typiquement, tes Tempier tu vas pas en boire un de chaque cuvée par an pendant les premières années : t'en boiras p'têt un à 3 ans, puis un à 5-6 ans, et tu aviseras ensuite.
Si tu veux pouvoir adopter ta stratégie, alors il faut que tu achètes 10 bouteilles de chaque référence ...
sebovino a écrit :Arnaud, combien de vins de plus de 10 ans escomptes-tu ouvrir par an?
sebovino a écrit :Arnaud,
● Tu as donc grosso modo, en cave aujourd'hui, 1380 vins rouges et 650 blancs secs, et surement quelques dizaines de bulles et sucrés. Et tu tends chaque mois/année à compenser chaque dégustation par un achat pour maintenir ce volume, voire à accentuer tes achats pour accroître ton capital vin, et passer de 2000 bouteilles à 2500 par ex. Pourquoi pas.
Tu dégustes combien de vins rouges et blancs de plus de 10 ans par an?
● Gros déséquilibre, oui. Un kiné du vin t'alerterait sur les dangers d'un tel déséquilibre et ta cave serait tenue de faire 2 séances par jour pendant 2 mois pour rééquilibrer les forces. Ça fonctionne bien pour les articulations des genoux, de là à bien articuler ta cave, ça mon bon monsieur..
ArnaudV a écrit :Je pense que je me suis mal fait comprendre. Je ne parle pas de boire 1 bouteille par an par référence. Mais de boire des vins à peu près à maturité quelque soit la référence y compris si tu n'as qu'une bouteille par référence.
Je vais prendre un petit exemple :
(...)
EricC a écrit :A faire un de ces jours : calculer l'âge moyen auquel j'ouvre mes bouteilles. Je pense que ça ne dépasse pas 5 ans
sebovino a écrit :
Si je trouve que 8,3 ans pour les rouges est un âge quasi parfait, il l'est beaucoup moins s'il s'agit de vins dits "de garde" dont on est en général sûr qu'ils gagnent énormément à être attendus 15 ans par exemple.
Je pense à certains Bordeaux et Rhône et particulier.
sebovino a écrit :Tu n'as pas le même graphique indiquant le nombre de vins ouverts par couleur?
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