2005 18,5/20
Dégorgé juillet 2014, dosé à 2 gr
Clair, très élégant au nez et en bouche, finesse superlative, légère note de fougère, noisette fraîche, grande longueur, miel salé, bulle intégrée, boisé digéré, raffinement total, petit chef d’œuvre.
2004 17,5/20
Dégorgé en janvier 2014, dosé à 4 gr
Un rien plus acide et plus fluide, grillé, moins gras, un peu plus pointu en fin de bouche, citronné, même style, même race. Il faut encore attendre.
2002 18/20
Dégorgé novembre 2013, dosé à 2 gr
Splendide arôme de miel de noisette mais en tension, signature évidente du terroir, à point, très légère amertume, net, aucune crainte sur son avenir.
2000 17/20
Dégorgé mai 2008 82 mois de cave sur pointe, dosé à 2 gr
Noisette grillée au nez très caractéristique, rondeur, ampleur de grand cru, légère évolution de la couleur due à une malo faite qui modifie un peu le style par rapport aux millésimes plus jeunes, accentuant le gras, mais faisant plus bourgogne avec bulles que champagne. Il est fait pour la table.
1997 16,5/20
Dégorgé en janvier 2004, 66 mois sur pointe, vinifié en cuve
Trop brioché au nez en raison d’un bouchon oxydatif, avec des notes de sirop d’érable. Mais la bouche fait plus jeune que le nez, avec des notes de chocolat blanc de bruyère en fleur, et néanmoins une belle acidité pour le millésime. Il ne cesse de se reconstruire dans le verre.
1996 18/20
Dégorgé juillet 2005, 97 mois sur pointe
Brioche magnifique au nez, une petite merveille de fruit et de salinité, complexité, longueur comparables aux plus grandes cuvées de prestige, malo faite mais imperceptible tant l’acidité de l’année reste marquée ! Miel de bruyère et mirabelle en fin de bouche un vin splendide.
1995 Difficilement notable
Dégorgé à la volée
Trop de ferment immédiat au nez avec une note curieuse mais classique pour des vins juste dégorgés de fer blanc, strict, fumé, savoureux mais pas parfaitement équilibré en l’état.
1992 19/20
Dégorgé à la volée, malo-lactique non faite en raison de la faible acidité de l’année.
Noisette parfaite au nez, acidité géniale, notes complexes, racées et émouvantes de frangipane, et de miel de bruyère (un des marqueurs des terroirs d’Ambonnay) finale sur le silex, apéritif génial. L’évolution de ce type de vin a largement contribué à convaincre Francis Egly à ne plus rechercher la fermentation malo-lactique.
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